Bienvenue sur mon blog ! ici vous trouverez des recettes de cuisine, mais pas que ! on parle aussi vie quotidienne, budget, littérature, cosméto, DIY et plein d'autres choses, en toute simplicité...Venez faire un tour !
Ça vous dit des sablés en forme de petits poissons, trempés dans du chocolat fondu ?
C'est une recette pour les enfants, trouvée dans un magazine que nous aimons bien à la maison : "Les belles histoires" (à destination des enfants de 4 à 7 ans). Il s'agit du dernier numéro, celui d'avril bien sûr. Mes filles l'empruntent à la bibliothèque. Il y a un cd de l'histoire à écouter à l'intérieur.
Pour une fois, je ne vais pas me fatiguer et je vais vous mettre toutes les indications en photos !
j'ai fais environ 40 poissons avec ces quantités
ils sont un peu durs sous la dent : je conseille de faire les sablés un peu plus fins (3mm) et de les cuire un peu moins longtemps (10 minutes).
faites fondre le chocolat au bain-marie, avec un peu de lait pour le fluidifier, et un morceau de beurre pour le brillant.
En matière de mode, j'aime les choses simples, décontractées et pratiques. J'ai longtemps été une adepte du sac à dos. Eh oui, quand on a trois jeunes enfants, c'est bien pratique. Quand tu tiens la main de tes enfants qui te tirent en tout sens et que la bandoulière de ton sac glisse sans cesse, au bout d'un moment tu passes au sac à dos, c'est une évolution normale dans la vie . Maintenant mes enfants sont plus grands, je n'ai plus besoin de leur tenir la main lors des sorties, sauf pour traverser la route, et dans ces cas-là, une mère trouve toujours une solution : elle se fait pousser un bras ( ça ne m'étonnerait qu'à moitié) ou tient deux petites mimines en même temps dans sa main, pour pouvoir tenir dans l'autre, au choix : le 3ème enfant (mais le mien a bientôt 12 ans, il apprécierait moyen), la laisse du chien, le sac de courses, ou deux cartables. Parfois il y a tout ça en même temps mais je préfère oublier. Bref. Ce genre de situations rocambolesques commencent doucement à s'éloigner de mon quotidien et c'est donc avec un immense bonheur que je redécouvre le sac à bandoulière. Pourquoi ai-je jeté mon dévolu sur un sac Kipling ? Parce que j'aime bien les marques de mon adolescence, pour moi ce sont des marques-refuge. Des valeurs sûres. Et puis je n'en connais pas beaucoup d'autres non plus vu que je ne m’intéresse pas du tout à la mode. J'aime aussi le côté pratique des sacs Kipling, le fait qu'ils passent en machine et qu'ils soient hyper légers. J'aime aussi la variété des couleurs et le choix des différents modèles proposés. Je n'ai plus besoin d'un sac XXL qui contiendrait couches, bib', doudous, goûters, etc. C'est pourquoi j'ai choisi le modèle Gabbie, qui est un un petit sac par rapport à ce que j'avais l'habitude de me trimballer, mais qui est décrit par Kipling comme un sac moyen. De fait, on peut y fourrer pas mal de trucs. En fait on peut y mettre tout ce dont on a besoin au quotidien. J'y fourre mon portable, mon porte-feuilles, mon chéquier, mon chéquier chèque-vacances, mes clés, un ou deux paquets de mouchoirs, le doudou de ma dernière, une petite bouteille d'eau, la clé de bagnole, mes lunettes de soleil et leur étui. il est bien rempli mais je le ferme sans problème. Ce que j'apprécie aussi chez Kipling c'est qu'il y a plein de poches spéciales et sur mon modèle il y a même une attache pour les clés. Le nom de la couleur de mon sac est burnt carmine.
le singe emblématique de la marque
plein de poches !
vue de côté
vus de dos : encore une poche !
J'aime aussi beaucoup le modèle Defea et il n'est pas impossible que je craque un jour pour le coloris true beige.
modèle Defea
J'adorais la collection avec les lapins Helen Lee Bunny, malheureusement elle est en rupture partout.
sac à dos City Pack S collection Helen Lee Bunny
J'espère que mon premier article "mode" vous a plu, et j'en profite pour préciser que cet article n'est pas de la pub ; mon petit blog n'a vraiment pas l'influence suffisante pour être démarché par des marques, bien malheureusement ! vous pouvez donc être tranquilles de ce côté-là !
Dans la famille biscuits, dimanche dernier je vous proposais les palets bretons, aujourd'hui ce sont les sablés normands.
Ingrédients pour environ 40 sablés :
- 140 g de beurre mou (idéalement du beurre d'Isigny)
- 2 jaunes d’œufs
- 250 g de farine
- 100g de sucre
- 1 sachet de sucre vanillé ou une pincée de vanille en poudre
- 1 pincée de sel
- un peu d'eau (environ 2 cuillères à soupe)
Préparation :
Dans un saladier, mélangez la farine, le sucre, la vanille et le sel. Incorporez le beurre en parcelles et travaillez avec les doigts en frottant la farine : la pâte doit être poudreuse. Ajoutez les jaunes d’œufs et un peu d'eau. Mélangez pour former une boule mais ne travaillez pas la pâte plus que nécessaire. Filmez au contact et placez au frais pour au moins 2 h. Passé ce temps, sortez la pâte du frigo et laissez-là une quinzaine de minutes à température ambiante avant de l'étaler. Farinez le plan de travail, préchauffez le four à 200°C. Étalez la pâte sur environ 5 mm d'épaisseur. Découpez les formes à l'aide d'un emporte-pièce de 5 cm de diamètre. Si vous n'avez pas d'emporte-pièce à bords cannelés, utilisez un verre retourné, ça ira aussi. Enfournez sur une plaque recouverte de papier sulfurisé, pour 12 à 15 minutes. Ils doivent être tout juste dorés.
Tout chauds, tout ronds, tout blonds les palets bretons ! ils font le bonheur des enfants pour le goûter, et celui des grands trempés dans le café du matin ou dans le thé du soir. J'en fais environ 60, car avec mes trois gourmands, que dis-je trois ; j'oubliai mon mari ! mes quatre gourmands plutôt, ils ne me dureront pas plus de deux ou trois jours. Ils seront mangés aussi bien au p'tit dèj qu'au goûter, qu'avec la compote du soir. Bref, ça part vite !
Pour environ 60 palets
Ingrédients :
- 100 g de beurre
- 200 g de beurre demi-sel
- 4 jaunes d’œufs
- 500 g de farine
- 240 g de sucre blond en poudre
Préparation :
Préchauffez le four à 180°C. Mélangez la farine et le sucre dans un saladier. Ajoutez le beurre mou et mélangez. Ajoutez enfin les jaunes d’œufs. Pétrissez la pâte afin d'obtenir une boule homogène. Étalez la pâte à l'aide d'un rouleau à pâtisserie, sur 1 cm d'épaisseur. découpez des disques à l'emporte-pièce. Enfournez pour 15 à 20 minutes : les palets doivent être dorés.
Comme chaque mois, je vous présente un livre de l'abonnement Animax de ma fille. En mars, il s'agit de "c'est mieux chez toi", de Brigitte Smadja, illustré par Jeremie Moreau. C'est un petit roman classé 6-8 ans par l'école des loisirs, mais je dirais plutôt qu'il correspond à des enfants de 7 à 10 ans. Date de publication : 2017.
Les thèmes abordés sont l'amitié, la différence, le regard des autres.
Résumé :
Louise a deux sacs à dos, un avec des palmiers quand il fait chaud, un avec des montagnes quand il fait froid. Amina a deux frères, qui l'embêtent quel que soit le temps, sauf quand ils dorment. Chez la première, c'est sombre et confortable. Chez la seconde, c'est clair et bruyant. Pourtant entre elles, il n'y a que 42 pas exactement...
Mon avis :
Eh bien, je n'ai pas vraiment d'avis concernant ce livre. J'ai noté des invraisemblances, auxquelles je ne sais pas quel sens donner : Pourquoi est-ce si sombre chez Louise ? Pourquoi préciser que la mère de Louise fume des cigarettes ? Pourquoi chez Louise, personne ne parle à table ? Pourquoi les enfants mangent-ils deux compotes ? Autant de petites bizarreries qui ne sont pas expliquées et qui n'apportent rien à l'histoire, sinon le sentiment de s'y perdre un peu. Pourquoi les frères d'Amina jouent constamment aux indiens alors que plus aucun enfant n'y joue depuis 40 ans ? Pourquoi n'ont-ils apparemment pas le droit de jouer dehors, ni d'avoir de télévision, ni de jeux vidéos ? Sont-ils censés être pauvres et Louise riche ? Rien ne l'indique. Dans ce cas, pourquoi Amina semble avoir honte quand sa mère invite Louise à la maison ? Est-ce parce qu’elle partage sa chambre avec ses deux frères, ou a t-elle honte de ses frères parce qu’ils sont bruyants ? On sent que l'auteure souhaite garder un flou autour de ses personnages, elles ne les enferment pas dans des cases. Côté ambiance, les frontières sont floues entre la joie (je dirais plutôt l'excitation, je n'ai pas trouvé vraiment de joie) et un certain spleen, qui existe bel et bien dans la fin de l'enfance. Sans doute que ce livre m'a un peu dérouté. Ma fille l'a lu d'un trait mais n'a pas trop su quoi en penser non plus.
J'ai aimé la drôlerie du passage avec le mot "souche", un mot qu'Amina ne comprend pas.
Quant aux illustrations, je ne les trouve pas belles à proprement parler, mais les expressions, les poses et la gestuelle sont assez justes.
Traduction : de l'anglais par Marie-Axelle de la Rochefoucauld
Date de publication : 2013
Genre : romance historique
Synopsis :
" Inde, 1940. Jeune mariée, Nerys a quitté la campagne galloise pour accompagner son mari missionnaire. Alors que la guerre du Cachemire éclate, elle découvre Srinagar, la ville au bord du lac, où les britanniques dansent et flirtent de manière insouciante.
Angleterre, de nos jours. En faisant du tri dans la maison de son père, Mair découvre un éblouissant châle ancien et une boucle de cheveux d'enfant. Intriguée par leur provenance, elle se lance dans une quête qui changera à jamais sa vie."
Cet ouvrage a reçu le prix du Grand Roman en Angleterre.
Mon avis :
Comme mon précédent article sur "Meurtres à Pékin", je n'ai pas fini ce livre. J'ai arrêté à la moitié. En fait je me suis ennuyée. Je ne me suis pas attachée aux personnages. Je n'ai pas réussi à me laisser prendre par l'histoire. Pourtant ce roman avait vraiment tout pour me plaire. Déjà, l'illustration de couverture est très belle, ce qui compte à mes yeux quand je choisis un livre. Ensuite la promesse d'exotisme, de voyage. L'histoire en elle-même ; deux femmes vivant à deux époques différentes m'avait parlé également. Enfin le côté historique avait fini de me séduire. Et pourtant...la magie n'a pas opéré. Cependant j'ai aimé voyager en Inde, et je salue le travail documentaire. Je ne souhaite pas rester sur un avis aussi mitigé, surtout que je sens qu'il aurait suffit d'un rien pour que j'entre complètement dans ce livre, et je vais prochainement retenter ma chance avec un autre roman de Rosie Thomas : "Les brumes du Caire".